J’ai
renfilé ma blouse blanche comme un condamné au ciel gris. J'ai retrouvé
mon outils de travail, mon bureau d'études, mon centre de recherche.
J’ai repris mes gestes machinalement. J’ai ressorti des armoires, des
tiroirs, les dossiers suspendus, des plans à main levée, des projets
retrouvés, un tas de calculs, des chiffres à virgule, des mesures
arrondies, des valeurs absolues, d’autres valeurs réelles, un nombre
incalculable de choses, de dessins en perspective, un monde qui
m’appartient, qui s’accroche à moi, qui ne me quitte plus, j’en suis
arrivé là, je replonge dedans. Pour me faire mal, mais je ne ressens
plus rien. Le temps est devant moi. Des fois, j’aimerai me lever et
repartir, pour ne plus revenir.
Derrière
moi, la fenêtre donne sur le paysage de la ville. Ma ville. Je me
retourne par instant, pour en saisir le sens, comme attiré par la
clarté, comme une mouche, comme un insecte, comme une araignée, comme
une abeille, comme une impression d’être quelque chose. Je glisse sur
la vitre, mes pensées aussi. Je m’agrippe au ciel, mais le jour
s’éloigne Toujours ailleurs, je ne cesserai donc jamais à me laisser
emporter sur l’écume des jours. Sur un toit de l’autre côté, une
corneille croasse. Des cris me reviennent, m’interpellent. Je
m’engouffre dans un passé simple. Des cris d’enfant, un vent danseur,
une mer houleuse, un rien, un petit rien et je vibre dans l’envers du
décor, je m’évade.
Dans l'âme des sillons, j'ai eu à coeur les rimes du poète Villon;
"Mais quoy ! je fuyoië l'escolle Comme fait le mauvaiz enffant En escripvant cette parolle A peu que le cueur ne me fent ! "
Jouer
en chantant avec les mots d'un français d'avant. La vieille campagne,
je l'ai jusqu'au bout des ongles. Je l'ai dans le sang, comme un
paysan. Je sème des mots dans la terre. Je suis un homme qui mûrit
doucement, je me nourris des saisons pour embellir ma maison. Je
respire l'enfance sur une table d'école, je prends un crayon à papier
pour esquisser ma vision, pas à pas l'ombre et la lumière jouent à
cache cache sur le fil du temps.
D'un
courtil, d'une cour, du linge épinglé s'élance sur une danse au gré du
vent. je m'enivre de petit rien, de petites choses sans importance, un
extrait, une essence de poète.
Les vacances de la Toussaint, c’est déjà loin, des mots dans une valise, abandonnés sur une carte
postale. A fleur de jour, à fleur de peau, le soleil a laissé des
traces, à l’ombre des sillages, à l’appel des villages de coquillages.
Une symphonie de couleurs, d’instants volés. J’ai effleuré ce monde,
j’en ai épousé des moments délicats, j’ai
cueilli des yeux, un feu frémissant, une fleur des airs, la blancheur
des marais, les chemins verts Vendéens, j’ai tremblé parfois au voile
du matin, tantôt à la robe du soir, je ne voulais pas abandonner,
toucher les images du bout des doigts. L’été indien a chevauché les
dunes jusque dans les ruines, les murs des bourrines. Un papillon sur
l’épaule, une coccinelle sur la main, je me suis lancé dans les laies,
j’ai vagabondé dans les prairies de travers. Un vent de folie plutôt
joli m’a coiffé, m’a embrassé. Un frisson dans les broussailles. Vision
éclair, père et mère à l’unisson comme une photo d’hier. Dans le reflet
d’une flaque, j’ai vu la lune se lever. Je l’ai suivi pour ne pas la
perdre. J’ai bordé un long sillon, abordé un orne dans le creux d’un
vallon. Silence des eaux dormantes. La vie, est une rivière qui
m’emmène jusqu’au seuil de la mer. La grande m’attendait calme et
écumeuse, le soleil finissait sa course et commençait son bain d’adieu,
dans l’or bleu. J’étais heureux.
Une allumette, une goutte d'eau
Peu
de chose me font grandir, me font plaisir. Un bruit, une lumière, une
odeur. Je change littéralement à l’intérieur, dans mon corps. Me
promener des heures, à me perdre, ne jamais voir pareil. Provoquer
l’émotion, vibrer à chaque instant, c’est cette liberté d’exister.
.L’inconnu m’excite, m’exalte, me provoque une jouissance extrême. La
mort ne m’a jamais fait peur. Quand je prends une direction, je ne sais
jamais jamais ce que je vais voir, découvrir. La mort peut-être au
bout. Tout est possible. Dans mes rêves, je suis conscient de toutes
ces choses là. Je voyage dans le temps. Je me vois petit, je me vois
vieillissant, à la porte de la nuit. Un jour, je franchirai, on
m’oubliera àjamais. C’est ainsi.
J’ai été tenté
parfois traverser le miroir de l’au-delà, mais à chaque fois une main
m’a attrapé. Chaque fois, j’ai fait mon mea culpa, je me promettais de
ne plus jamais refaire. Mais des fois la tentation du noir me faisait
mal. Alors je me redirigeai et reprenais en catimini l’escalier pour redescendre dans les abimes, le sanctuaire. J’aime me perdre, j’éprouve des sensations magnifiques. Les repères sont des points, des symboles, des émotions, tout est inscrit dans le livre de mes souvenirs. J’ai inséré des photos pour ne pas perdre des images.
Pendant
cette semaine d’évasion, j’ai vraiment peu photographié. Peu écrit. Je
n’avais pas envie ou peut-être tout le contraire de vouloir garder le
temps trop précieux. trop envie. Je voulais juste toucher, apprendre à
marcher en profondeur. Je ne sais pas ce que je ferai demain, c’est le
mystère. Il m’arrive de changer de chemin, pour ne jamais voir le
lendemain. En me réveillant des matins, j’avais la gorge nouée. Mon
grand-père était venu à ma rencontre, sur un chemin perdu.
Il sentait la bonne terre des champs, je me suis assis sur une souche pour savourer cet instant solennel, et on a ri ensemble. Le gazouillis des oiseaux
dans les feuillages d’automne, nous ont apporté leurs airs de
fraîcheur. Au grand jour, à la brume de l’aurore, j’ai quitté la
vieille maison pour retrouver ce rêve, et mon grand-père. Je n'ai vu
que du vent et des ombres. Des illusions perdues.
Au
dernier jour, j’ai fait le ménage avant de repartir dans ma ville, j’ai
rangé les affaires une par une. En pliant le drap rose du lit, j’ai
découverts pour la première fois une belle petite écriture bleue cyan
sur le bord à moitié effacé, j’ai reconnu sur le champs le coup de
crayon de ma grand-mère d’autrefois, j'y voyais son sourire, dans chaque lettre, j'entendais
son rire . Elle avait inscrit le prénom et le nom de mon grand-père. A
cet instant, j’avais compris que lui aussi, il avait dormi dans ce
drap, qu'il avait rêvé comme moi, il y a longtemps.
L'île aux Moines, voilà, c'est là que je suis venu pour me reposer, pour me changer les idées. Des promenades sur les sentiers côtiers, de la lecture, quelques mots délaissées sur un carnet et un peu de photo pour la détente. Je ne voulais rien d'autre. Le soleil est apparu puis a disparu, cela m'était égal, je voulais juste m'absorber d'un peu d'eau de mer, de bois de pins, et de landes parfumées. Des notes de piano me sont venues au bout de mes doigts, sur un fond de mer, j'ai senti le vent marin soufflé dans mes oreilles. J'ai ramassé du sable, pour mieux le sentir.
Une promenade avec et dans mon œil photographique, j'ai un petit appareil de poche que je porte souvent. Toujours ce besoin d'attraper en plein vol une image, d'un instant.
Je n'ai jamais eu la prétention d'être un photographe, je voulais être juste absorbeur d'images. Pendant longtemps, durant ma jeunesse j'étais un oiseau voyageur, un vagabond. Aujourd'hui, J'ai perdu mes ailes, mon baluchon, mais je n'ai pas perdu l'émotionnel. Dans les années 80, j'avais un Nikon FM, je faisais du noir et blanc, et surtout de la diapo. Je suis arrivé du jour au lendemain à la photo, je n'y connaissais rien. J'ai étudié rapidement les possibilités de réalisation. Puis j'ai repris la route. LA photo revenait cher à l'époque, alors par économie, je ne faisais qu'une photo par inspiration. Je faisais attention à la lumière, au cadrage, à l'émotion, tout ces éléments devaient correspondre pour réussir une photo. J'étais seul, il fallait bien que je me débrouille. Je savais comment je voulais reproduire ma vision. Il ne restait plus qu'à parcourir pour impressionner mon monde.
De
nombreuses photos (surtout sur Venise, Lisbonne, l'Espagne, les
États-Unis) elles seront sélectionnées et diffusées dans des revues,
des magazines, à mon grand étonnement. J'étais un solitaire, je n'avais pas de liaison dans le domaine de la photographie, ni avec des photographes. Puis en 1994, je mets fin à la photographie, je brûle une grande partie de ma collection, je détruis des négatifs etc... J'enterre ma jeunesse, mes rêves, mon idéal.
En 2004, on m'offre un petit appareil numérique basique, rudimentaire. En photographiant pour m'amuser, je retrouve des sensations d'hier. Alors
je commence à le garder dans ma poche, il est petit. Je le trouve bien
utile, je m'adapte avec le numérique, car j'appréhendais un peu. Je redécouvre le plaisir de voir, de m'absorber d'images. J'ai failli perdre la vue un jour, c'était terrible. J'ai eu cette peur, de ne plus jamais voir. Le noir, c'est un vide qu'on ne voit pas. J'ai été opéré par un professeur américain, il m'a sauvé mes yeux. Il est devenu un grand ami. Alors la lumière m'est revenue, Sic Luceat Lux
Je n'ai mis qu'une partie de mes photos depuis 2004, pourtant même si je photographie peu, j'ai une quantité énorme de photos. Comme toujours, je ne fais qu'un seul cliché comme à la première heure, je n'ai pas changé mes habitudes. Et aussi, je ne regarde jamais ce que je fais. Ce
n'est que plus tard, que je découvre l'impression. C'est à ce moment en
regardant, que je me rappelle de cet instant. Je retourne en un moment
dans ce passé. L'émotion me revient, elle s'est figée. Le plus
difficile évidement, c'est de réussir la partie technique avec ce genre
d'appareil très rudimentaire, mais c'est mon œil sensible à la lumière
qui me guide.
C'est ma façon de faire, je ne recherche pas l'extraordinaire, je ne sais pas faire. Puis la photo, ce n'est pas ma passion juste mon autre expression.
Chaque photo représente un thème, en cliquant sur la photo, vous pourrez visionner l'album complet :
Je
vais devoir m'absenter un long moment de la toile du Web, j'en suis
navré, j'entre en étude pendant quelque temps, c'est primordial pour
moi de lustrer mes neurones. Je passerai de temps en temps dans vos univers. Merci de votre compréhension.
C'était dimanche 28 septembre 2008 à Prévelle dans le Perche sarthois
Le Perche Sarthois, premier «Pays d’Art et d’Histoire» des Pays de la Loire, occupe la bordure orientale de la Sarthe. Paysage vallonné, bocages, prairies vertes sur les bords de l’Huisne, pour un territoire marqué au 19ème siècle par une génération d’artisans et d’artis- tes, qui ont construit son histoire.
Des aventures ferroviaires qui reviennent pour le bonheur d’un tourisme familial et pittoresque Entre Beillé et Bonnétable, un tronçon de l’ancien- ne ligne des ducs perpétue la tradition du chemin de fer d’antan sur 18 km de parcours, grâce aux antiques «autorails» et aux locos à vapeur de la Transvap. La Compagnie du chemin de fer de Semur-en-Vallon, fait revivre pour sa part le temps des «tramvouais» de la Sarthe (avec visite du muséotrain)
Passage au plus près des matières.
Un grand merci à tous ceux, qui sont venus, sont passés
ont traversés les champs du visible, ont écrit dans ma page noire
j'ai retrouvé mes textes et mes images au fond de mon puits
Comment, Je ne sais guère, tout est réapparu, revenu
du "saint Web" probablement, c'est mystère et bille de môme
C'est vrai aussi, je suis surmené, demandé de toute part
Tiraillé à droite, à gauche, jamais une seconde pour respirer
A force, je m' épuise, je m'agrippe, me traîne, je suis vidé
Je ne sais quoi dire, j'ai la langue morte, les mots endormis
J'espère que le calme reviendra, comme ici, dans ces matières en lumière
J'entends la nuit blanche sous mon toit, la lune étoilée à la fenêtre,
On m'appelle, on me souffle, on m'ouvre la grande porte
Un tourbillon de graines célestes m'aspire dans l'escalier en spirale
Les yeux au fond des orbites, je commence mon odyssée
Je vous raconterai un jour peut-être, cette danse dans la galaxie.
Sic
J'aime les impressions données par la nature minérale et végétale, c'était au jardin médiéval de Brain sur Allonnes.
Toutes mes excuses de ne pas passer dans vos chez vous actuellement, je sais ce n'est pas bien, ça me déchire aussi, mais mon âme n'est pas au beau fixe, des sacs lourds de soucis m'arrachent les mains, le coeur,
j'espère que la lumière reviendra au fond de mon miroir................
Grand pardon traditionnel avec procession costumée suivie d'une messe bretonne...
Procession costumée suivie d'une messe bretonne à la Chapelle de Loc-Ildut
Repas champêtre à partir de 12h
L'après-midi : spectacle folklorique avec présence de cercles celtiques, exposition d'arts sacrés, jeux...
Saint-Ildut naquit au V e siècle en Angleterre dans le comté de
Glamorgan d'extraction royale. Comme beaucoup de jeunes gens de
l'époque, il s'adonnait aux travaux militaires et servit comme
chevalier dans les armées du roi Arthur. Il étudia aussi les sciences
humaines et ecclésiastiques.
Depuis 1965, date à laquelle le pardon
de Loc-Ildut fut relancé par l'abbé Broc'h, curé de l'époque sur la
paroisse, et par l'action efficace des Amis de Loc-Ildut, ce pardon n'a
cessé de rassembler petits et grands en une communion fraternelle. La
procession de cette édition 2008 rassemblait encore de nombreux
pèlerins arborant fièrement le costume traditionnel du pays Léon et en
portant avec respect les diverses enseignes religieuses, (croix,
bannières, statues, reliquaires).
Tous les dimanches, je pars de bon matin dans le coeur de la ville, dans son côté jardin, côté jour. C'est le jour du marché à Pontlieue ou à la Place des Jacobins. Je n'ai pas de préférence, c'est en fonction de l'humeur.
Je viens chercher la couleur du jour, prendre la température, trouver l'inspiration de l'instant. Que vais-je offrir à mes ouailles pour ce jour dominical.
Tel un peintre, je vais choisir mes couleurs, tel un parfumeur, je vais sélectionner les essences, les images se transforment dans ma tête, je voyage
j'imagine tous ces fruits et légumes, ces poissons, ces volailles, ce lait, ces oeufs, ces fleurs, je vois toute leur petite vie jusqu'à dans mes yeux. Un film de la vie dans les marchés.
Puis, je continu à voir plus loin, en passant par mes mains.
je vois l'entrée, les suites et le dessert. Je vais tout composer, ce sera la fête des yeux, du nez et de la bouche. Le marché, c'est mon entrée dans la matière. La matière première, la fraîcheur, l'inspirateur.
Oui, tout commence le dimanche matin, J'aime bien me retrouver dans le fourneau. Un peu toqué avec ma toque, je me table d'un tablier d'écolier, Je reste un grand enfant. Rien n'est sérieux, tout est plaisir. Mes pâtons sont prêts. Je prépare mes baguettes, le pain de campagne aussi. Je sors mes yaourts, tout est maison. Ce n'est pas toujours dimanche. Je commence dès le samedi soir, après jeux et histoires avec les enfants. Ils m'apportent leur grain de sel, la main à la pâte, comme on dit, lorsqu'ils le veulent bien, mais ils aiment bien. J'ai appris la cuisine en regardant ma grand-mère, mes tantes, et maman lorsqu'elle pouvait faire. Sa maladie, sa saleté de maladie la rendait infirme. Alors, j'ai dit à maman, c'est moi qui fera la cuisine. Dès 12 ans, je réalisais des plats plus compliqués, plus élaborés. Je faisais les courses avec manu , le fréro.
J'étais déjà, dans l'action, j'étais déjà pointilleux sur la qualité et les prix des produits . Je n'ai pas changé. Je ne suis pas aussi rouspéteur que jean-Pierre Coffe, chacun est libre d'acheter, de manger. Pour moi, la qualité est indispensable. Cela a un prix parfois. Depuis, que j'ai un potager, je produit d'une façon naturelle. Je recycle tout, j'ai un composteur pour enrichir ma terre. Je n'utilise jamais de produits chimiques, ni de pesticides. Donc, ma production est assez moyenne, mais correcte.
JJe ne fais pas tout dans mon jardin, alors j'ai besoin de compléter en allant aux marchés de la ville.
J'aime aussi me retrouver dans cette atmosphère, surtout le dimanche
Les cloches des églises, de la cathédrale marquent l'heure des fidèles, ils sont endimanchés, c'est la fête. Le marché bat son plein, les paniers sont presque plein. On se salue, avec un sourire, un mot de bonne humeur, le soleil sort de l'ombre, le ciel reste toujours capricieux. Je flâne encore, que me reste-t'il au fond des poches, un billet doux, ou de la monnaie pour casser cette tire-lire. Un chanteur du dimanche s'accorde, s'attarde encore sur quelques notes. Les oiseaux chantent bien plus fort, ils n'attendent plus les miettes, le marché n'est pas fini. Et le soleil est monté encore plus haut.
Si vous voulez continuez au Marché, je vous invite à me suivre vers cette galerie : "Mon Marché"
je n'ai pas roulé de la mécanique, tout était fluide, pas de tâche d'huile Même si Je rouille un peu plus, c'est l'âge je crois
j'avance au ralenti, mais je ne recule pas Les courses de bagnoles, ce n'est pas mon dada. Je dois l'avouer. Je préfère voir les chevaux courir dans la nature. Mais, voir vrombir des bolides, cela m'a botté finalement, surtout avec le demande pressante de mademoiselle ma fille. Alors, je me suis décidé d'aller voir cette course mythique. C'est comme la tour Eiffel, (je suis monté qu'une fois et pourtant, je suis né et j'ai habité à deux pas de la grande sauterelle, pour vous dire).
Je m'étais fait touriste pour une fois dans ma propre ville, cela changeait du voyageur vagabond. Alors, j'ai récidivé avec les 24h. Novice complet dans ce milieu de l'auto. Pour l'occasion, je me suis baigné dans le journal du jour et un magazine des 24h. Je n'en revenais pas, j'étais à la page et en couleur. J'ai mémorisé les équipes, les bolides, le circuit, les passages, enfin tout. Quand on est arrivé au circuit par le tramway avec mes 2 fillettes, j'étais enfin fier de leur expliquer le machin, puis comme j'avais mémorisé aussi les plans et la carte, j'avais l'impression d'être déjà venu. Cela m'a permis de faire un peu de photos, je devinais les endroits qui m'intéressaient pour m'impregner de ce circuit et de cette course. Les fillettes étaient heureuses et moi aussi. Je n'y reviendrai pas tous les ans, il ne faut pas exagerer. Mais je suis satisfait de cette découverte. Alors, on y était pour les essais qualificatifs de mercredi, (peu de monde, sauf le soir) et aussi le dimanche pour la course , la course poursuite entre Peugeot et Audi. Voilà, je vous laisse avec mes impressions, oh, c'est juste ma façon de voir. il y a à boire et à manger, et aussi beaucoup de déchets à la fin.
Amikalement votre sic
Si vous voulez en voir plus, je vous invite à voir mon album photo en cliquant ici : -> "mes 24h"